The High End Of Low, le dernier album de Marilyn Manson
Je vous en avais déjà parlé à de nombreuses de cet album et des quelques chansons qui sont apparues sur le net. L'album est prévu le 25 Mai en France, mais on peut déjà le trouver en vente en Belgique. Pas très logique, mais bon, ça permet de l'écouter en avance, alors ne nous plaignons pas.
Tout d'abord, avec l'écoute de We've From America que Manson a mis à disposition sur son site et sur son myspace, ainsi qu'à la vue du clip d'Arma-Goddamn-Mother-Fuckin-Geddon on se dit qu'il y a rien de transcendant, que certes il se rapproche musicalement de ses anciens albums, mais bon... On aurait pu penser que Marilyn Manson allait renouer avec ses anciens personnages, recréer un univers qu'on aurait déjà vu et qui aurait probablement fait plaisir aux fans, mais non, à ce niveau là, il renoue avec Eat me Drink Me. Marilyn Manson n'est pas dépassé par son propre personnage et nous montre ce qui se trouve derrière, ses sentiments, son humanité. Ainsi, les deux chansons évoquées précedemment ne sont pas du tout représentatives de l'album, et c'est tant mieux.
Certes, il est loin le temps où Marilyn Manson faisait des merveilles musicales. Il est loin le temps des Beautiful People, des Irresponsible Hate Anthem et autres manifestations de violences provocatrices à la rythmique délurée. Moins surprenant que Eat Me Drink Me et son étrange et criticable musicalité (on se souviendra tous des riffs de guitare digne d'une chanson pop anglaise, je pense), basique mais toutefois efficace, The High End of Low nous fournit quelques bons moments, notament sur cette chanson de plus de neuf minutes, I Want To Kill You Like They Do In The Movies qui a une touche agréablement psychédélique, ainsi que Running To The Edge Of The World une balade un peu longue (plus de six minutes) à la guitare acoustique et aux montées de la voix de Manson qui nous rappelle le morceau Coma White.
Tout d'abord, avec l'écoute de We've From America que Manson a mis à disposition sur son site et sur son myspace, ainsi qu'à la vue du clip d'Arma-Goddamn-Mother-Fuckin-Geddon on se dit qu'il y a rien de transcendant, que certes il se rapproche musicalement de ses anciens albums, mais bon... On aurait pu penser que Marilyn Manson allait renouer avec ses anciens personnages, recréer un univers qu'on aurait déjà vu et qui aurait probablement fait plaisir aux fans, mais non, à ce niveau là, il renoue avec Eat me Drink Me. Marilyn Manson n'est pas dépassé par son propre personnage et nous montre ce qui se trouve derrière, ses sentiments, son humanité. Ainsi, les deux chansons évoquées précedemment ne sont pas du tout représentatives de l'album, et c'est tant mieux.
Certes, il est loin le temps où Marilyn Manson faisait des merveilles musicales. Il est loin le temps des Beautiful People, des Irresponsible Hate Anthem et autres manifestations de violences provocatrices à la rythmique délurée. Moins surprenant que Eat Me Drink Me et son étrange et criticable musicalité (on se souviendra tous des riffs de guitare digne d'une chanson pop anglaise, je pense), basique mais toutefois efficace, The High End of Low nous fournit quelques bons moments, notament sur cette chanson de plus de neuf minutes, I Want To Kill You Like They Do In The Movies qui a une touche agréablement psychédélique, ainsi que Running To The Edge Of The World une balade un peu longue (plus de six minutes) à la guitare acoustique et aux montées de la voix de Manson qui nous rappelle le morceau Coma White.
En gros, sans être excellent, cet album s'avère être toutefois bon, voir même très bon pour un fan. :)